Pour toucher plus de personnes et tester différents marchés, les éditeurs de comics ont souvent fait appel à des auteurs étrangers. Bien évidemment, le succès des séries mangas n’est pas passé inaperçu. DC confie donc l’une de ses icones, Batman, au mangaka Kia Asamiya. Le résultat est une histoire en deux albums intitulée L’enfant des rêves et publiée chez Semic en France.
Batman enquête sur le trafic d’une drogue appelé Otaku responsable d’une forte augmentation de la criminalité à Gotham City. Les usagers de cette drogue peuvent devenir le personnage qu’ils admirent le plus (beaucoup sont fans des criminels de Gotham) avant de décéder en raison des effets indésirables de la drogue.
Malgré un temps d’adaptation au niveau du dessin et une grosse incohérence scénaristique, Asamiya mène son histoire de main de maître. Vous pouvez retrouver mon article ici.
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